Le métal a toujours été là, en toile de fond. Pas comme un simple genre musical, mais comme un langage. Une manière d’entrer dans l’intensité.

Qu’il soit mélodique, industriel, progressif ou brutal, il m’accompagne dans l’écriture comme dans le quotidien. Il libère ce qui ne trouve pas sa place ailleurs. Il donne une forme à ce qui déborde, à ce qui gronde.

Écouter certains morceaux, c’est comme entrer dans une transe. Une façon de puiser dans une émotion brute, de l’amplifier jusqu’à ce qu’elle devienne matière à créer.

Le métal, c’est ce qui m’aide à extérioriser la rage, les déchirures et la tension intérieure. C’est aussi ce qui me pousse à explorer l’ombre sans la craindre.

Mais je ne me limite pas.

Le punk, dans son urgence, dans son honnêteté frontale, m’inspire aussi.

Le hard rock, avec ses rythmes accrocheurs, m’offre parfois l’élan nécessaire pour avancer dans un texte ou dans des évènements importants de mon quotidien.

Certains morceaux me servent de tremplin ; d’autres, de refuge.

Parmi les groupes et artistes qui m'inspirent le plus : Slipknot, Architects, Wage War, Fit For A King, Papa Roach, Kalandra, TH3ORY, Resolve, In This Moment, Crystal Lake, Maximum The Hormone, Beartooth, XO Armor, LANDMVRKS, I Prevail, Disturbed, Vended, Walls of Jericho...

Mais aussi AC/DC, Sum 41, Halestorm, Aerosmith, Metallica, Iron Maiden, Tagada Jones, Ultra Vomit, Black Bomb A, Tenacious D...

Et la liste continue, comme une playlist infinie, toujours en mouvement.

Un écho fidèle à ce que je suis.

Je pioche dans tous ces univers pour nourrir les miens.

Parce que chaque note peut contenir un personnage. Chaque cri, un début d’histoire.